FIN d'EMPIRE
Dans la série Ni Coca Ni Cola
Comment est-il possible que les innombrables cadeaux aux plus riches et les mesures impopulaires, sur les retraites, l’affaiblissement du secteur public, avec la remise en cause du droit à l’enseignement et à la santé, ne donnent pas lieu à une volonté plus forte du changement ?
Faut-il parler de servitude volontaire, à la manière de La Boétie qui écrit que « c’est le peuple qui s’asservit, car non seulement il obéit, mais il sert ceux qui le dominent » ?
Pourtant, les classes moyennes et populaires sont les plus nombreuses et elles constituent les forces productives sans lesquelles il n’y a ni production, ni échange, ni enrichissement possible. La bourgeoisie le sait bien et elle veille au contrôle des médias.
« Le président des riches ».
M. Pinçon et M. Pinçon-Charlot.
La Boétie écrivain XVIème siècle